I have a tale to tell...

Inceste. Lui, elle. Ça fait mal, tellement...

El rital a changé ma vision des choses, je crois.

Bref, nous allons passer sur le fait qu'une fille à gros nichons ose se travestir, que le fait d'imaginer la photo "portrait" cadrée plus en "profondeur" me fasse déconner à plein tube.

Je ne m'attendais sincèrement pas à autant de visites sur ce morceau de net. Avec des mots clés normaux, et ça c'est magnifique.
Bien sûr, avec le "gros nichons", "travestir", "profondeur", je me doute que ça risque de bouger.

Merci pour les quelques commentaires que je lis et que j'oublie souvent d'appuyer sur "publier".

Vous savez quoi ?
C'est la première fois que j'approche d'une vague écoute sur ce que j'ai à dire, et ça, c'est beau.

Vous ne me connaissez pas, mais vous me connaissez mieux peut-être que des personnes qui ont grandi avec moi, et ce en juste quelques articles.

La magie du net... Et dire que les personnes les plus concernées ne savent même pas tout ça.

Ah, au fait, si "tu" passes par là, trouve-toi un pseudo' qui fesse sa grand-mère (mots-clés, moots-cléés) parce que j'ai pas envie d'avoir à supprimer tes commentaires, forcément. Bisous.

Je ne croquerai sûrement jamais dans cette pomme, alors je la croque sur le papier, de mes doigts et de mes craies... Je croque son fantôme par les mots de ce blog, j'esquisse son ombre sans jamais définir sa silhouette...

... L'Amour...

L'amour ne sera jamais plus fort que ces plaies qui s'infectent au lieu de cicatriser. L'amour ne guérit pas les maux. Il obscurcit notre jugement, comme une cure au LSD.
Et puis un jour, on est en manque, le dealer est parti... On ne pouvait plus donner assez pour lui. Mais moi, je vendrais un à un mes organes pour me payer ma dose. Mais, non.
Et on voit à quel point le trip nous a mutilé. Ces marques qui ne s'en iront jamais, qu'on se contentera de masquer, de maquiller.
Et on se demande ce qui nous a pris, sans déconner.

Longue nuit emplie de cauchemars.

Une nuit remplie d'abandons... Comme si la journée ne suffisait pas.

Je saisirai le moindre prétexte pour poser mes lèvres sur sa joue, pour finir lovée dans ses bras... Même un instant.

Masochisme, quand tu me tiens... Partage avec lui ton étreinte... S'il te plait.

Je jure de m'en sortir.

Parce que ce n'est pas juste que ce garçon s'en foute de moi, et que moi je crève de lui.

Je voudrais crever maintenant, car un jour, je mourrai de l'intérieur.

Ce jour-là, je le sais, est proche.

Aussi proche que t'es loin de moi. CONNARD.

Bonne nuit les gens, surtout.

Et puis ça passe, quand un cauchemar décide de réveiller toutes ces choses.

J'aimerais juste pouvoir tout changer, virer de bord et recommencer de zéro.

Pourquoi hanter alors mes rêves quand je ne demande qu'à chasser ces fantômes ?

Tuez-moi.

Je t'aime, si tu savais.

Mais toi, et lui, c'est pas normal, c'est pas sain.

Mais je t'aime, je t'aime.

Et je mens, je te mens. Je me mens, je leur mens, je vous mens.

Je mens plus que je ne respire.

Je ne respire plus car je n'en peux plus de mentir.

Amen.

Aujourd'hui, je me demande.

Le jour où je vais vraiment déraper, soit, de façon irréversible et définitive.

Je me sentirai mieux, il est vrai.

Mais, est-ce qu'au final, je me sentirai définitivement apaisée ?

Ça va faire mal, quand il aura une femme dans sa vie. Très mal.

Et, il va être très difficile de faire bonne figure.

Je suis forte, mais à ce point, je ne sais pas.

Espérons que oui.

Aujourd'hui, encore, toujours, on m'a donné une chance de croire en la possibilité de sentiments.

Mais, et après ?

Égoïstement, ça serait parfait, mais... Dans le monde des humains ? Dans la culture occidentale ?

On ne change pas les mentalités d'un coup, pas même en tout une vie.

Alors, on va essayer de changer de vie, tout simplement. Un virage en avant.

C'que c'est beau, ce que j'écris, quand je suis malade.